Fin de cycle, quelques très bon moments comme la fessée de Thorgal à Jolan. Ce cycle se termine et avec lui la meilleure période de Thorgal.

Un vrai coup de coeur cet album!
On clôt parfaitement le cycle Qâ dans une aventure ryhtmée et dans de magnifiques décors, sous le soleil.
Thorgal et Aaricia sont particulièrement beaux dans cette aventure!

Cet épisode qui clôt le cycle pays Qâ est, comme les 3 épisodes précédents, une histoire captivante et parfaitement bien ficelée. Les intrigues parallèles sont ici gérées avec beaucoup de maestria, même si la fin est un peu trop "expédiée" à mon goût, comme contrainte par la limite des 48 pages.
Mais peut-être est-ce un mal pour un bien : l'incroyable densité de l'intrigue qui en résulte, conjuguée à l'extrême des situations, permet à cet album de tenir tête aux exceptionnels volumes précédents, plus spectaculaires. C'était pas gagné vu le niveau des albums précédents depuis "Les Archers", mais le défi est relevé.

Pas de grande narration, mais encore une fois un grand art du dessin. Rosiński montre une fois de plus ses qualités en décrivant des conditions d'éclairage extrêmes : alors qu'il s'agissait plutôt de la lumière tamisée d'une habitation viking ou de l'étouffement d'un banc de rame de galère, ici, comme dans tout le cycle de Qâ, c'est l'éclat du soleil qui détermine tout. Une caractéristique particulièrement spectaculaire est la bouche du soleil, représentée sur la couverture, dans laquelle Thorgal et ses compagnons sont amenés à frire à mort - la forme ancienne d'un four à micro-ondes. Fameux !

Un récit intéressant à plus d'un titre ! Van Hamme n'a pas souhaité conclure toutes les intrigues parallèles du Cycle du Pays Qâ dans le tome précédent et mets ici fin à l'ensemble de manière plus convaincante.

Une bonne fin pour clôturer ce superbe cycle!

L'album où nos héros pansent leurs plaies, physiques et mentales. Après le bruit et la fureur des deux épisodes précédents, « Entre terre et lumière » fait plus office d'épilogue, après que « La Cité du Dieu Perdu » ait véritablement clôturé le cycle du Pays Qâ. Van Hamme et Rosinski nous permettent de reprendre notre souffle, et de jeter un dernier regard vers cette contrée si terrible pour nos héros et leurs proches.

Encore un tome sympathique, et même plus que ça. Je ne me lasse pas de relire cette série.

Dernier tome du cycle du pays Qa, ça y est la mission est accompli, ce qui va nous être raconté, ce sont les retrouvailles du groupe de Thorgal, avec celui de Jolan et les règlements de compte avec les Xinjins. Evidemment si les Xinjins remerciaient Thorgal et ses compagnons pour ce qu'ils ont fait et les laissaient repartir paisiblement avec Jolan et Pied d'arbre ce serait trop beau, mais ça va être beaucoup plus compliqué que cela, et cela nous donne l'album passionnant une fois de plus que voici.

La sortie du cycle du pays Qâ est gérée de mains de maîtres dans cet album.

Ah la fessée d'un père à son fils ! Mémorable ! Cela fait débat encore aujourd'hui... C'est encore Jolan le héros de cette histoire, ou d'une famille, et ce sont des amis qui tendent la corde... Pour moi, c'est encore un album avec de belles histoires. Une belle fin pour ce beau cycle.

La fin d'un cycle, par delà la grande mer.
Un peu moins intense que les deux albums précédents, mais néanmoins indispensable aux fans de la saga.
Graphiquement remarquable à nouveau. Les ambiances dégagées par le dessin et la colorisation contribuent énormément à la réussite de la série.
Thorgal et sa petite famille rentrent à la maison par la grande porte. La légende se poursuit.

La longue aventure sud-américaine de Thorgal se termine ici. Très bel album où le personnage principal est la lumière. Venu de l'espace, adopté par les viking, traversant les cités maya et aztèque en vaisseau-ballon, Thorgal dont le fils a de formidables pouvoirs de l'esprit. Voilà le monde dans lequel nous entraîne Van Hamme sous le formidable coup de plume de Rosinski.

Davantage post-scriptum que conclusion, "Entre terre et lumière" met fin au cycle de Qâ, prétexte à Van Hamme pour clore certaines sous-intrigues laissées en suspens..

Du coup, on ne peut pas dire que le récit soit véritablement trépidant, le plus gros des enjeux ayant trouvé sa résolution dans le tome précédent. On retrouve donc une fois de plus Thorgal dans de sales draps pendant que sa chère Aaricia est partie préparer la bouffe.

Rien de nouveau donc mais Van Hamme conduit son récit avec efficacité et les dessins de Rosinski sont toujours aussi beaux alors on ne va quand même pas se plaindre !

Alors qu'on pensait que le cycle Qâ allait e terminer, les auteurs prolongent un peu leur récit avec cet album qui soulève des interrogations différentes que celles des autres livres du cycle.

S'il est moins intense que celui du tome précédent, le scénario n'en reste pas moins d'une extrême qualité et sublime une fois de plus la personnalité de Thorgal, plus que jamais héros exemplaire et humble dans un monde où tous sont en quête de richesse et de pouvoir.

Pour moi cet album n'est pas moins bon que les autres, et le pays Qâ n'a rien perdu de sa magie.

Un peu moins bon que les 4 précédents, mais encore très bon!

J’aime bien : Jolan qui fait nous fait sa crise de mégalo, et le moment comique où il se fait remettre à sa place. Quand il parvient à réaliser l’exploit de rajeunir Kriss, montrant ainsi toute l’étendue de ses formidables pouvoirs, et le méchant, Maloc je crois, qui le constate, atterré.
Le moment de torture terrible vécu dans la bouche du soleil, où l’on peut sentir toute la chaleur atroce et cette lumière aveuglante, si bien rendues pour une BD ! (Passage étonnamment revisité dans un album de XIII par le même auteur, dans L’Or de Maximilien. Peut-être s’agit-il du même endroit : ) ?)
J’aime bien également les pérégrinations de Kriss avec Jolan sur leur chariot.
Et enfin j'aime bien cet album surtout pour la fin. Un happy end, enfin. Une fois n’est pas coutume. Une belle fin heureuse, légère et réussie, où tous les héros sont contents et où le méchant (Kriss) n’a que ce qu’il mérite…
Une histoire qui manque un peu d’intérêt, au vu des dernières aventures vécues, mais qui a le mérite d’alléger un peu le climat.

Le cycle s'essouffle, l'aventure arrive a terme, moins de rebondissement et pas de scènes d'anthologies par rapport aux précédents albums du même cycle, mais cela reste toutefois une très bonne bd qui nous rend nostalgique à la fin.

bon album parce Thorgal entre la vie et la mort .

Le souffle de l'aventure est retombé un peu, on est plus dans la succession de Tanatloc et les intrigues associées. Mais néanmoins bonne qualité!

Album de transition pour clôturer le cycle. Terriblement bien mené tout de même. Des détails importants pour la suite.

album qui m' a fait découvrir la terrible bd Thorgal.

bon album, mais grosse régression par rapport aux quatre précédants

moi je trouve que dans le cycle du pays quâ le meilleur est "les yeux de tanatloc" car on les voit beaucoup dans la jungle et on découvres les pouvoirs de jolan ...ect

Cette Album est un de mais preferer du cycle Qua. Génial.... contrairement a la cité du dieu perdu celui que je n'aime pas..... trop de sang...

Un excellent album, qui souffre seulement de venir à la fin d'un cycle encore plus excellent.
Bonne histoire, bons personnages, les rapports entre Thorgal et son fils sont habilement exploités.

La tension des derniers albums est un peu retombée mais le départ du pays Qa ne se fera pas de tous repos. Très bon album.

C'est la respiration après le cycle, une atmosphère totalement différente bien que sur le même continent pré-colombien. Il y a de très jolis moments dans l'histoire (la scène du souvenir de Tjall par Thorgal et Arghun, Jolan qui se prend pour un dieu, Kriss qui retrouve sa jeunesse, la cavité de cristal en prison).
C'est un très bon album, mais un quatre pour un poil moins de force que le cycle proprement dit.

Album moyen :)

Le moins bien de la saga du pays Qa, qui malgré tout se laisse lire sans déplaisir.

Encore un très bon album issu du cycle Qâ, cependant un petit moins bien que les précédents.

Le moins bon album du cycle qâ. Je n'aime pas notre Kriss en vieille peau.

Dans la continuité du meilleur cycle de Thorgal.

Un très bon album dans l'ensemble. Peut-être un peu poussé sur certains points, comme l'avidité de certains Xinjins, mais très bon sinon, avec le retour de Kriss jeune.

Comme tous les albums avec des scènes de la vie quotidienne de la vie Aergisson, j'aime.

Très bonne manière de finir le cycle Qa!

Incroyable ! Tout laissait à penser que l'histoire du pays Qâ se terminait à l'album précédent, et qu'il ne restait plus qu'à retrouver Jolan. Las ! Un album entier sera nécessaire pour en finir pour de bon. L'album de trop ? Que nenni ! C'est mal connaître les auteurs qui savent nous tenir en haleine, même si l'atmosphère n'est plus la même. Et le sort de Kriss est plus que jamais baigné dans l'incertitude !

L'album de trop dans ce cycle..........

J'ai beaucoup aimé cet album où l'on découvre le pays Qâ sous un meilleur jour que précédemment, malgré un contexte toujours aussi délétère avec un Uebac plus manipulateur que jamais. Rosinski s'en donne à coeur joie dans les paysages. Chouette aussi, le petit Jolan-Hurukan qui se sent vraiment comme un dieu et n'hésite pas à s'opposer à son père, qui ne s'en laisse évidemment pas conter. Ses expressions faciales lors de cet épisode sont très bien rendues par un Rosinski en verve, au même titre que Thorgal, surhumain quand il parvient à s'évader de sa terrifiante prison à flanc de montagne!