Bon, çà y est, après avoir lu cet album, j'ai remis en vente mes séries de Louve et La Jeunesse... Sauf deux titres, "Slive" et "Le Drakkar des glaces" dédicacés par Surzhenko qui est un auteur adorable, ceci dit en passant. La composition des planches ici est trop simpliste, pas aérée, pas originale selon moi. De plus, développer des histoires passées entre l'enfant des étoiles et la Magicienne trahie est périlleux. Il y a peu de révélations à faire. Bref, on s'ennuie... C'est triste pour une série mythique !

Il a beaucoup d'action, de combats, de cris, de personnages dans cet album, peu de place pour une véritable intrigue et encore moins à de l'émotion. L'histoire autour du hakarl m'a semblé ubuesque.
Comme cela a déjà été dit, on se croirait dans un épisode de la série Vikings, plus que dans un Thorgal. Cela m'a également rappelé les intrigues autour de Magnus dans la série consacrée à Kriss.
Pour autant, j'aime bien l'idée d'en apprendra davantage sur le contexte géo-politique de la série.

Je m´ennuie toujours autant. L´intrigue est encore une fois réduite à rien : "on s´évade et on s´évade". Des aides divines (le rêve d´Aaricia) pour s´en sortir. De la mièvrerie top niveau avec Medhi et Enyd. Des personnages caricaturaux. Des dialogues peu naturels. Toujours du saute-moutons entre les divers personnages (trop nombreux comme d´hab).
Bref, une aventure au pays des danes à oublier. Et ça tombe bien, je n´aurai aucun mal à la rayer de ma mémoire.

Bon album, mais comme le précédent avec toujours plus de violence que la série originelle. Thorgal et Aaricia prenne enfin plus d'importance. Les conclusions des personnages Mehdi et Enyd sont bien emmené.
Le problème c'est que, comme l'album précédent, je n'est pas l'impression de lire un Thorgal.

Les dessins sont toujours agréables, l'histoire se tient maison reste dans du classique et pas beaucoup de surprises.

Un tome très moyen et dispensable mais qui conclut heureusement la saga avec Harald à la dent bleue.
Il y a de nombreuses péripéties, certaines exaltantes, d'autres répétitives, les nouveaux personnages ne sont guère intéressants mais amènent la possibilité d'une suite (comme d'habitude avec ce scénariste). Les dessins sont peu inventifs mais rendent la lecture facile.
Thorgal perd de son originalité au contraire d'Aaricia qui s'affirme en grandissant.

Je n'espère rien des tomes suivants, si ce n'est d'affaiblir encore la légende de Thorgal...

On va de rebondissements en rebondissements, de révélations en révélations. Bof. L'ensemble n'est pas incohérent mais j'ai trouvé le découpage de l'histoire assez brouillon. "Tiens ? Il est là celui-là ! Bon, d'accord..."
Le dessin de Surzhenko reprend dignement le flambeau transmis par Rosinski. Mais c'est au niveau de l'émotion que je n'accroche pas. A force de multiplier les rebondissements, Yann ne laisse pas le temps au lecteur de s'immerger dans le scénario. Du beau travail mais, à mon goût, un peu trop plat.

Les dessins de Surzhenko sont beaux et nous plongent dans l'histoire. Un album réussi, plein d'action et de rebondissements, toujours aussi passionnant.

Un opus de la jeunesse de Thorgal moyennement accrocheur. Il y a beaucoup de rebondissements sans grands développements, le tout donne un aspect très brouillon. Certains aspects sont même franchement mièvres.
Le dessin par contre tient bien la route avec son trait fin et précis.

Bavard, fatiguant, et finalement, on retient peu de choses de cet album. Vivement que cette serie se termine. Et pourtant quel dommage car le dessin est très bon!

La série "Jeunesse" avait très bien commencé. Elle est devenue bavarde et chargée d'évènements inimaginables. Les dialogues sont parfois insupportables. J'ai décidé de la lire plus comme une histoire parallèle, moins comme une génèse. Je les achète par esprit de collection, mais ça devient pénible. Dommage pour le dessinateur qui mériterait autre chose.

Cette bande dessinée est pleine de rebondissements, plutôt agréable à retrouver, pour savoir si, enfin, les deux jeunes héros vont réussir à fuir le Daneland. Vol, courage, amour, loyauté, amitié, combat, mort, espoir et liberté s’entremêlent dans ce nouveau récit captivant et entrainant. Le dessin est toujours plaisant, très travaillé, avec un trait vif et fluide, des personnages expressifs et quelques belles planches.

Voilà donc le huitième tome de la série, avec pour la première fois une histoire qui se prolongera dans le tome suivant, et donc un cycle plus long que d'habitude.
Entre intrigues de palais et situations tendues dans les geôles, Thorgal et Aaricia sont finalement au cœur de jeux de pouvoir qui rappellent un peu certains épisodes du milieu de la série Kriss de Valnor.
Les personnages secondaires qui avaient été mis en relief dans le tome 7 le sont moins ici.
Beaucoup de passages humoristiques, aussi.

Pour ce qui est des dessins, l'histoire laisse peu d'occasions de proposer de grandes et belles cases, c'est dommage.

Yann serait-il nostalgique de la fin de GOT ? A la lecture du titre de son nouvel album de la Jeunesse de Thorgal, on pourrait le croire, le scénariste enfonçant le clou un peu plus loin avec une scène de combat dans une fosse entre notre héros et un ours sauvage.

Ce huitième volet est riche en action et en ingrédients classiques : méchant limite caricatural, environnement hostile, nos deux tourtereaux séparés, chacun vivant des péripéties stressantes mais que le destin fera se retrouver… le tout dans la tradition de la série d’origine, avec forcément un peu moins de fraicheur et d’originalité.

Yann continue de dérouler les jeunes années de Thorgal, qui doit cette fois sauver Aaricia du méchant roi du Daneland.

C’est lassant tant ça cabotine. Et parfois dégoulinant de mièvrerie : tous ces amours contrariés, et finalement consommés, à grand renfort de déclarations enflammées, pfff…

L'histoire est décousue et les dessins ne sont pas ceux qui peuvent être attendus pour une BD de Thorgal.

On passe du coq à l’âne sans lien compréhensible (du moins, je ne suis pas assez subtile pour l'avoir trouvé).

Pour moi qui suis les aventures de Thorgal depuis le début, c'est fini : le filon est épuisé, tout comme le scénariste.

Du Thorgal dont on ne discerne pas vraiment la "jeunesse" tant ses aventures, ses combats, et ses tribulations auraient pu être celles de Thorgal l'adulte. Dommage donc, puisqu'on n'explore pas plus en avant cette facette du personnage jeune.
Toujours est-il que l'histoire de cet opus des "Deux bâtards" vient clôturer le "diptyque" initié par la dent bleue pour l'ensemble des protagonistes de façon logique et bien pensée, même si cela manque un brin d'originalité.
Même constat graphiquement, c'est du Thorgal et Surzhenko maîtrise vraiment son univers et ses personnages. C'est fin et cela se rapproche du travail de Rosinski. Et c'est tant mieux pour ma part.

il y a de l'action, des sentiments, de l'aventure, et pourtant ça ne m'emballe pas plus que ça... à côté des BD actuelles, ça ne passe plus la rampe, tant au scénario qu'au dessin... c'est de la BD comme on en faisait il y a quelques dizaines d'années... bof quoi...

Ça se lit assez agréablement... Comme on regarde un épisode de "vikings". Parce que c'est devenu beaucoup plus ça, finalement, que vraiment du Thorgal. Avec cette série "la jeunesse de Thorgal" , On est parti avec de l'excellent avec "les trois soeurs Mikkelson", pour en arriver à du sympa mais très oubliable. Beaucoup trop de petites cases qui annihilent complètement l'impact de certaines actions. Comme quand Sveynn fait tomber son père dans l'arène. Beaucoup trop de facilité dans le scénario. Enyd aime Mehdi, mince il est eunuque, oh ça tombe bien elle n'aime pas le sexe.  Quand aux exclamations habituelles des personnages invoquant toute l'anatomie des dieux Nordiques, si Yann passe par la, il continue sans doute par provocation. Quid du pacte de sang de Thorgal avec le fils d'un illustre roi Danois, quelle utilité pour le reste de la saga?Alors oui, moi aussi, j'ai hâte que cette série se termine et se rattache à la série-mère. Ca m'embête bien parce que ce serait dire au revoir à Roman Surzhenko et à ses superbes dessins qui transpirent de son amour pour l'univers de Thorgal. Et que je suis également toujours insatisfait de ce qui se passe dans la série-mère, '"l'ermite de Skellingar" m'ayant laissé froid, contrairement à beaucoup.