Les collectionneurs, les amoureux des beaux livres ou les curieux peuvent profiter d’éditions prestigieuses, aux finitions encore supérieures à celles de l’édition classique.
Depuis quelques années, la plupart des albums de Thorgal ont pu être proposés dans une édition luxueuse, limitée, à un tarif raisonnable. Pour ce 41ème album, les partenaire de cette opération sont les Espaces Culturels Leclerc. Vous ne trouverez cette édition spéciale que chez eux (21€50, uniquement chez Leclerc) !
Voici les tomes qui font partie de ce qu’on peut désormais définir comme une collection.
Et donc, le nouvel album !
Comme vous le voyez, le format et les finitions de ces tomes presque successifs sont sensiblement les mêmes. On retrouve donc un visuel de couverture exclusif, différent de celui de l’édition classique, une finition mate et une maquette épurée.
Une collection, mais oui ! Les tomes 36 et 39 n’en font pas partie.
Voici donc la couverture de l’édition prestige de « Mille yeux ». Réalisée par Fred Vignaux, elle propose un Thorgal en pleine action, cherchant à remonter une corde sous le « regard » d’une roche étrange sertie d’éclats lumineux.
L’album est plus grand que l’édition classique. Sa finition mate retient l’œil différemment.
Derrière l’album, on retrouve le visuel de l’édition traditionnelle du Lombard. L’aspect sobre fonctionne plutôt bien.
On ouvre ? Et on retrouve la page de titre spécifique de cette collection prestige, avec sa maquette élégante.
1500 exemplaires seulement, il ne faudra pas traîner pour se le procurer… Si vous vous demandez qui est Gaétan, il s’agit de Gaétan Georges, le coloriste de Thorgal et de Thorgal Saga !
Le contenu de l’album est identique à celui de l’édition classique — en dehors du cahier graphique dont on vous parle un peu plus bas. Les planches sont donc en couleur, dans un format légèrement plus grand. Quelques millimètres de plus.
Le papier est de belle qualité, plus épais, très agréable au toucher.
On retrouve donc l’histoire de « Mille yeux » avec entre autres… Ben si tu veux savoir, il va falloir le lire. C’est quand même mieux.
Comme vous le voyez, l’image est à peine plus grande que dans l’édition classique (présentée en dessous pour comparaison). Quelques millimètres, il faut le mesurer pour le voir. Par contre, ici, les planches sont imprimées avec une finition satinée qui approfondit les contrastes et les couleurs de façon plutôt agréable. L’expérience de lecture est donc assez différente, avec aussi le plaisir d’un papier plus lourd, plus lisse que d’habitude.
Oui je sais, ça ne se voit pas trop sur ces photos. Mais promis, c’est vrai.
L’autre atout de cette édition prestige est le cahier graphique de 8 pages qui vient clore la lecture en proposant des images inédites extraites des archives des auteurs.
On voyage avec la main de Fred Vignaux, abandonnée sur le papier. Elle glisse, elle tâtonne, elle cherche à faire émerger des personnages, des lieux, des idées.
A droite, ce n’est pas un gâteau d’anniversaire. Il n’y a pas de spoiler, l’objet est en couverture de l’album — sans la bougie.
La galerie de portraits s’étend, de nouveaux personnages y apparaissent. C’est ici qu’ils sont venus à la vie.
Profitons encore un peu de ces images inédites, réservées aux 1500 heureux propriétaire de l’édition Leclerc.
L’album offre un dernier cadeau, des travaux préparatoires pour la couverture.
Si vous êtes intéressés, ne traînez pas, il serait dommage de devoir le chercher dans quelques temps en occasion à des prix honteux…
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Retrouvez cet article, des planches et d’autres informations, dans la fiche de l’album « Mille yeux » !