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Les dieux ont mis un homme à l'épreuve

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Imaginons des histoires courtes originales…

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Imaginons des histoires courtes originales…

Ce sujet a 13 réponses, 5 participants et a été mis à jour par  sylverine, il y a 6 jours et 3 heures.

  • Créateur
    Sujet
  • #31525 Répondre | Citer

    Ca fait un moment que j ‘y pense
    Serait-il possible de lancer un sujet dans lequel on pourrait créer des histoires originales, courtes bien sûr, sur notre univers préféré?

    Vous n’avez pas apprécié un des derniers albums et avez une idée d’une autre histoire?
    Vous n’avez pas aimé la fin d’un album et en avez imaginé une autre?
    Alors lançons-nous !!

13 réponses de 1 à 13 (sur un total de 13)
  • Auteur
    Réponses
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    En plus on a le temps, c’est pas comme si le forum allait bientôt fermer

    Répondre | Lien | Citer

    Comme c’est la ruée sur le sujet , je me lances!

    Par exemple, j’avais imaginé une histoire des origines de Kriss.

    J’imagine la première partie de son enfance assez heureuse.
    Fille unique et choyée d’une famille de seigneurs, ou tout du moins de gens importants, elle a donc la chance de bénéficier d’une éducation solide, notamment dans le maniement des armes bien sûr. C’est une enfant très belle, douée en tout, la meilleure. Elle fait tourner la tête de tous les garçons. Elle fait montre d’un caractère souriant mais entêté, un peu hautain. Mais tout le monde l’aime, l’adule, l’envie, elle est choyée comme une petite princesse. S’ennuyant un peu, elle aime parfois fuguer dans la nature, vivant ses premières aventures. A chaque fois, le bon seigneur envoie des patrouilles la chercher. Quand elle revient, elle est un peu grondée mais vite pardonnée…

    Un jour, alors qu’elle n’a qu’une dizaine d’années, elle est encore parti dans une de ses petites expéditions champêtres, avec son arc et ses flèches. Elle décide de rentrer, toute heureuse d’être parvenue à chasser et à attraper seule du gibier… Mais alors qu’elle s’approche du domaine familial, elle voit une épaisse fumée noire. Intriguée puis apeurée elle se précipite pour découvrir le domaine en flammes. Horrifiée, en pleurs, elle s’approche pour tenter de découvrir des survivants. Hurlant le nom de ses parents, elle fouille les décombres à leur recherche. Ne les trouvant pas parmi les corps qui gisent, elle s’effondre en larmes. Seul un serviteur a survécu, il lui raconte ce qu’il s’est passé. Une bande de dangereux brigands bien organisés sont arrivés et ont tout pillé, tout massacré, avant de repartir avec leur butin. Personne n’a survécu… Elle s’en va alors, complètement anéantie.

    Elle erre sans but dans les campagnes désolées. Pour survivre, elle vole à la sauvée dans des bourgs mal famés noyés sous la pluie hivernale, avant de fuir sous une volée de pierres, poursuivie par les villageois. Après quelques temps d’une vie de clocharde dans un décor grisâtre, elle est récupérée par une autre famille de seigneurs locaux.
    Kriss espère retrouver sa famille perdue dans ce nouveau foyer. Malheureusement cette nouvelle famille d’adoption lui fera vivre un enfer. Humiliations, maltraitances, corvées,.. Celle qui était autrefois une petite princesse adulée se voit déchoir pour devenir une esclave en haillons. C’est certainement la pire des humiliations. Elle use de ruse pour tenter de s’échapper, ou pour pourrir la vie de ses « bourreaux », notamment en charmant, manipulant les hommes du domaine… Ce sera l’escalade de la violence.
    Une nuit, le maître de maison tyrannique s’approche furtivement de la couche de Kriss. S’intéressant aux charmes naissants de Kriss, il tentera d’abuser d’elle. Elle se démène, et soudain repoussera l’homme lubrique avec une force surprenante. Celui-ci tombera lourdement sur quelque chose d’aiguisé et meurt sur le coup. Tout bascule dans l’esprit de Kriss. Tuer lui parut si facile… La torche de l’homme tombera, commençant à enflammer les tentures. Terrifiée, Kriss s’enfuiera dans la nuit noire. Derrière elle, le domaine disparait dans les flammes. Une parenthèse se referme dans sa vie.

    La jeune femme survit de rapines, comme quelques années plus tôt, mais avec une plus grande expérience. Elle s’amuse, se rit des hommes, les charmant, puis les volant. Plus rien ne semble avoir d’importance pour elle.
    Un jour elle retrouve la trace des dangereux maraudeurs responsables de la perte de ses parents. Elle les attire dans un piège et les massacre tous, froidement, jusqu’au dernier…

    Elle sait que seule, elle a peu de chances de survivre. Il lui faut trouver un compagnon fort, ou une bande…
    Elle finira alors par croiser la route d’un hors-la-loi dépassant en taille et en force les autres hommes. Ce colosse se nomme Sigwald.
    Au départ il n’accordera aucune importance à ce petit bout de femme pourtant téméraire et audacieuse. Plus tard, elle finit par être capturée par une bande de malfrats au regard mauvais. On ne saura pas ce qu’ils lui font subir, mais Kriss sera pleine de haine. Elle sera sauvée par Sigwald. Mais dans la mêlée, en sauvant la vie de Kriss, il est brûlé au visage par la torche d’un des bandits. Dans les jours qui suivent, se sentant coupable, elle le soignera et l’assistera. Elle lui sera redevable à la vie à la mort. Les deux compères ne se quitteront plus, nourrissant d’abord de l’affection puis une profonde estime mutuelle.
    Ensemble ils commettront toute une série de forfaits, toujours plus audacieux. Ils accumuleront richesses et trésors volés. Ils ne craindront plus rien ni personne, ni dieux ni lois. Ils seront de plus en plus craints et respectés par tous les autres bandits de la région, plus personne n’osera s’attaquer à eux.
    Devenant trop connus dans la région, ils décideront de s’aventurer plus au nord…

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    Très sympa et bien écrit!
    Par contre, ça me fait un peu bizarre d’imaginer Kriss aimée et choyée pendant son enfance. On imagine un psychanalyste qui s’intéresserait à son subconscient être étonné de sa perte totale de repères moraux et affectifs à la suite du drame qui intervient relativement tard dans sa vie, alors qu’elle a pu se construire solidement pendant sa petite enfance grâce à l’amour de ses parents.
    Enfin, je dis ça, je ne dis rien!

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    Salut pennybridge! Merci pour ta réponse, c’est sympa !

    En fait je trouvais l’histoire de Sente un peu trop « trash » alors j’avais imaginé une version plus « soft »… Mais d’après ce que tu me dis elle l’est sans doute un peu trop…

    Répondre | Lien | Citer

    sylveyrier a écrit :
    Salut pennybridge! Merci pour ta réponse, c’est sympa !

    En fait je trouvais l’histoire de Sente un peu trop « trash » alors j’avais imaginé une version plus « soft »… Mais d’après ce que tu me dis elle l’est sans doute un peu trop…

    Non ta version est bien, je retravaillerais juste la toute première partie
    Allez, au boulot pour nous faire d’autres épisodes et histoires courtes!

    Au fait, en parlant d’histoires courtes, toi qui es un amateur de XIII, est-ce que tu connais l’histoire courte « Traquenards et sentiments » ?
    http://www.laboutiquebd.com/com/philatelie-bande-dessinee/56-xiii-traquenards-et-sentiments-tirage-normal.html

    Répondre | Lien | Citer

    pennybridge a écrit :
    Non ta version est bien, je retravaillerais juste la toute première partie
    Allez, au boulot pour nous faire d’autres épisodes et histoires courtes!

    Avec plaisir ! Merci pour tes encouragements pennybridge!

    pennybridge a écrit :
    Au fait, en parlant d’histoires courtes, toi qui es un amateur de XIII, est-ce que tu connais l’histoire courte « Traquenards et sentiments » ?

    Non désolé, je savais qu’il existait, mais jamais croisé dans les rayons … C’est bien?

    Répondre | Lien | Citer

    J’avoue que pour moi Kriss avait toujours eu des origines nobles. Le « de Valnor » est une piste évidente et sa soif de pouvoir me semble une autre.

    Je l’imaginais bien traumatisée par une histoire de ton genre sylveyrier. Par contre, je suis d’accord avec pennybridge. Kriss a eu une enfance trop soft. En fait, je me demande si elle n’aurait pas pu être la fille bien traitée de seigneurs locaux relativement immoraux, qui lui aurait inculqué cette absence ce moralité.

    Si vous avez vu Game of Thrones, on peut imaginer une mère aimante mais malveillante type Cersei, un père du genre Tywin ou même Roose Bolton.

    Répondre | Lien | Citer
    Thorgal-BDthorgal-bdWebmestre

    Oui, elle est bien cette histoire !
    J’aurais pu l’ajouter à la galerie du site, mais la galerie est en stand by, en pause café, sur l’aire d’autoroute, bref elle attend comme tout le reste que le nouveau site ouvre ses portes à la communauté.

    J’espère que ce genre d’initiative pourra se développer, il y a matière.

    Répondre | Lien | Citer

    Merci beaucoup pour vos retours !

    Répondre | Lien | Citer

    sylveyrier a écrit :
    […]
    Non désolé, je savais qu’il existait, mais jamais croisé dans les rayons … C’est bien?

    Oui!
    je l’ai acheté en 2004 et j’avais beaucoup aimé. C’était sympa de lire un (mini-)roman de Van Hamme

    Répondre | Lien | Citer

    pennybridge a écrit :
    Oui!
    je l’ai acheté en 2004 et j’avais beaucoup aimé. C’était sympa de lire un (mini-)roman de Van Hamme

    Ok merci ! Je vais me lancer!

    Répondre | Lien | Citer

    Isis a écrit :
    J’avoue que pour moi Kriss avait toujours eu des origines nobles. Le « de Valnor » est une piste évidente et sa soif de pouvoir me semble une autre.

    Je suis d’accord avec toi Isis ! De plus, quand on la voit dans Les Archers, Kriss a une attitude fière, altière, arrogante… Elle est bien vêtue, bien coiffée,…

    Isis a écrit :
    Je l’imaginais bien traumatisée par une histoire de ton genre sylveyrier. Par contre, je suis d’accord avec pennybridge. Kriss a eu une enfance trop soft.

    Vous avez certainement raison! Quand j’ai imaginé cette version, j’avais en tête la Kriss des derniers albums, avec un bon fond… Mais tout à l’heure j’ai relu La Marque des bannis, et ce qu’elle fait subir à Aaricia est juste ignoble!! (je ne parles pas seulement du bannissement, mais de sa capture et ce qu’elle lui dit après l’avoir frappé) Là c’est une pourriture
    Et si on disait que quand elle était gamine, un « ami » de la famille venait la « voir » chaque soir dans sa chambre… beurk!
    Ou encore que, comme toute bonne future amazone, elle a été élevée exclusivement par des femmes, une chatelaine veuve,…

    Isis a écrit :
    En fait, je me demande si elle n’aurait pas pu être la fille bien traitée de seigneurs locaux relativement immoraux, qui lui aurait inculqué cette absence ce moralité.

    Oui je n’y avais pas pensé! J’imagines bien une scène du genre… « Papa pourquoi tu l’as fait fouetter la servante? Qu’est ce qu’elle a fait pour mériter ça? » « Parce que ces gens ne sont là que pour nous servir, ma chérie… Tu sais, dans la vie il n’y que deux catégories de personnes, les puissants et les faibles, les forts et les faibles, les loups et les brebis, etc… N’oublie jamais ça ma chérie! » « D’accord pôpa » « C’est bien ma poupée, fais moi un bécod « 

    Isis a écrit :
    Si vous avez vu Game of Thrones, on peut imaginer une mère aimante mais malveillante type Cersei, un père du genre Tywin ou même Roose Bolton.

    Eh non malheureusement jamais vu ! Depuis le temps qu’on m’en parle, il va falloir que je m’y mette…
    Hem… C’est pas un peu trop violent?

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    Bonjour!

    J’ai retrouvé des histoires que j’avais imaginé sur Thorgal il y a quelques années, mais que je trouvais très imparfaites. J’ai malheureusement vu que les derniers albums y ressemblaient, et je regrette finalement de ne pas les avoir posté plus tôt…

    « Le cauchemar de Thorgal.

    A une époque qui se situerait après La Cage.

    Thorgal et sa famille errent dans des contrées inconnues. Vastes étendues de forêts désolées et dépeuplées, quelque part autour de la mer grise. La relation entre Aaricia et Thorgal est assez froide, celle-ci a toujours du mal à lui pardonner, et Thorgal ne sait trop quoi faire, tente de garder la face. L’ambiance est tendue.

    Un jour, alors que personne ne fait attention à elle, Louve disparaît. Thorgal part à sa recherche. Restés à l’abri, Jolan tente de raisonner Aaricia. « Je sais que c’est difficile, mais tu devrais lui pardonner. » « J’aimerais tellement y arriver, Jolan »

    La progression de Thorgal est lente et difficile, dans des sous-bois obscurs, sous un temps qui s’annonce gris et orageux. Il se sent observé. Son cheval est soudain effrayé par une présence sous les arbres. Thorgal tente de rattraper sa monture, sans succès. Il se tourne vers les arbres obscurs, vers la présence… Là, une silhouette encapuchonnée, au visage sombre sort de la pénombre. Une barbiche noire donne un aspect inquiétant à son visage grave (très inspiré de Dustin Hoffman dans « Jeanne d’Arc »). « Qui es-tu ?» lui lance Thorgal. Une voix très grave et basse, gutturale, comme surgissant d’outre-tombe, lui répond « Je me nomme Natas. Je vis dans ces bois, dans une chaumière pas très loin d’ici. » Et toi qui es-tu ? Tu ne ressembles pas aux gens d’ici. » « En effet. Nous nous sommes arrêtés mon épouse, mes enfants et moi, mais il semble que ma fille s’est égarée. Qui sait quels dangers elle court, je dois la retrouver au plus vite, mais dans ces dédales obscurs j’ai bien peur de m’être moi-même égaré. » «  Il n’ya rien de pire que de perdre sa famille. Je pourrais peut-être t’aider à la retrouver. » « Qui es-tu, un sorcier ? » « Ha ha ha rit l’homme sur un ton sardonique. Les hommes on tôt fait de cataloguer les autres dès qu’ils sont un peu différents. Je suis vate, et mon don me permet de « sentir » certaines choses que d’autres ne peuvent pas. » « Ton aide me serait précieuse Natas, mon nom est Thorgal. » « Alors suis-moi Thorgal. »

    Le devin lui indique la route à suivre. Mais Thorgal, ému, ne retrouve que la poupée de Louve.

    Il tombe sur des habitants rustauds d’un hameau local. Il les questionne. Personne ne peut le renseigner, personne n’a rien vu. Un jeune homme local l’approche. Connaissez-vous un homme du nom de Natas ? Non. Un vate qui vit dans une chaumière dans la forêt ?! Je chasse dans ces bois depuis des années, je connais l’endroit comme ma poche et il n’y a pas de chaumière.

    Un à un les membres de sa famille, disparaissent les uns après les autres. D’abord Louve, alors que personne ne s’y attendait. Thorgal fera appel au devin Natas… Chacun tombe d’une façon incongrue, en rapport avec sa personnalité. Louve tuée par des animaux. Jolan en se servant de ses pouvoirs. Et Aaricia…

    Dans une semi-obscurité, Thorgal croise la route d’un personnage étrange qu’il voit à moitié, et lors d’un combat, le tue. Plus tard il comprend qu’il est ce personnage et donc qu’il est condamné à mourir de sa propre main…

    Thorgal ne peut y croire. Fait tout son possible pour les retrouver. Quand il découvre, horrifié, leurs corps, il hurle de douleur et de chagrin. C’est impossible, tout s’arrête, son monde s’écroule. Il s’effondre en pleurs.

    Natas apparaît, surgissant de l’obscurité. Vois-tu ce que ça fait maintenant ? Thorgal se redresse, ivre de colère, Toi ! Qu’est ce que tu fais ici ? C’est toi ! C’est toi qui les as tués ! Voyons, tu déraisonnes, qu’est ce que j’aurais à voir avec çà ? Comment aurais-je pu ? C’est toi qui a emmené les miens dans ces pièges ! Tu vas payer pour cette atrocité !

    Thorgal tente de s’emparer avec force de son adversaire, mais son bras le traverse… Un rire effrayant éclate et résonne dans la forêt obscure. Ha ha ha ! Tu ne peux rien contre moi !

    Thorgal s’effondre, abattu. Natas réapparait « Vois-tu ce que cela fait de perdre ce qu’on a de plus cher ? » « Mais pourquoi, que t’ais je fais ? »

    « Il y a quelques années, mes proches et moi-même vivions dans un petit village local, notre vie était modeste, mais je crois que nous étions heureux. Mais un jour, une horde de pirates cruels et sanguinaires déferla sur nos côtes. J’étais parti pêcher en mer ce jour là. Mais lorsque je les ai vus déferler au loin, il était trop tard. Et de toute façon qu’aurais-je pu faire ? Quand je suis arrivé, il n’y avait plus aucune vie, le village était en cendres. J’ai pleuré, hurlé à la mort devant les dépouilles de ceux que j’avais tant chéri. Mais rien ne pouvait les ramener. Ce jour là j’ai juré de me venger, de retrouver les démons sanguinaires qui m’avaient ravi mon épouse et mes enfants. Mais surtout de punir le chef démoniaque de cette bande de sauvages, un dénommé Shaïgan. »

    Thorgal déjà abattu, ne sait plus quoi répondre, est abasourdi. Et compatit à la douleur du vate, d’autant qu’il la vit à l’instant même. « Je ne sais quoi répondre, Natas. Je n’ai jamais pris part aux pillages et aux tueries. » « Facile comme réponse, facile de fuir ses responsabilités. Et de tout rejeter sur le dos de cette Kriss de Valnor » « Je sais Natas, je n’aurais pas assez du reste de ma vie pour payer pour ce que j’ai fait. »

    Le vate finit par lui révéler que tout ça n’était qu’un leurre, une illusion. Et l’homme lui révèle l’endroit où son épouse et ses enfants dorment, en sécurité, à l’abri dans une grotte.

    Thorgal hallucine, les yeux inondés de larme. Comme la sensation de se réveiller d’un cauchemar. Tu vois, je n’ai pas voulu te priver des tiens. Je voulais juste que tu comprennes. Que tu perçoives l’espace d’un instant l’horreur de ce que tu m’as fait vivre. Pour toi ça n’a duré qu’un instant. Pour moi c’est pour l’éternité.

    Thorgal murmure, les poings serrés « Je suis désolé Natas, tellement désolé…

    Mais ne recroise plus jamais ma route. Plus jamais. »

    Et le sinistre personnage s’effaça dans l’ombre. »

13 réponses de 1 à 13 (sur un total de 13)


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