Lady S.
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tjahzi, il y a 3 mois et 2 semaines.
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Intégrale Lady S
Les Editions Dupuis vont publier en fin d’année une intégrale en 2 tomes des albums de Lady S scénarisés par Jean Van Hamme. Sur son blog, le dessinateur Philippe Aymond parle de son héroïne :
Voici en exclusivité la couverture du premier volume de l’intégrale LADY S, à paraître aux éditions Dupuis en fin d’année.
Cette intégrale regroupera les cinq premiers tomes de la série, parus entre 2004 et 2008, et revient sur le recrutement de Suzan Fitzroy, fille adoptive d’un diplomate américain, par le très secret CIRCAT, un service de renseignement européen à vocation anti-terroriste.
Voici la couverture du volume 2 des intégrales de Lady S. Tout comme le volume 1, il sortira à la fin de cette année. Il reprendra les tomes 6 à 9 de la série, soit un cycle qu’on peut qualifier de « français »: déchue de sa nationalité américaine, Shania Rivkas arrive en France et se trouve confrontée au « Colonel », un haut responsable de la DGSE. A noter que ce cycle marque aussi l’arrivée sur la série de Sébastien Gérard à la mise en couleurs.
Les volumes 1 et 2 de cette intégrale regrouperont l’ensemble des albums de la série écrits par Jean Van Hamme.
Et pour rassurer les fidèles lecteurs, je peux vous annoncer que les aventures de notre blonde espionne continueront en 2019, avec la sortie du tome 14.
Source : http://philippeaymond.blogspot.com
Les deux couvertures sont magnifiques.
Je trouve que la première résume parfaitement l’esprit de la série. Glamour et danger, force et fragilité.
Thorgal-BD a écrit
Les deux couvertures sont magnifiques.Je trouve que la première résume parfaitement l’esprit de la série. Glamour et danger, force et fragilité.
Oui, elles sont vraiment sympas!
Si je peux juste émettre un bémol, ça serait sur la 1ère couverture je trouve sa poitrine moins bien dessinée, et dans la 2ème ses sourcils trop épais (surtout qu’ils sont très foncés et contrastent avec ses cheveux blonds)…
Tome 14 & Intégrale 3Lady S est de retour le 29 novembre avec 2 albums : Code Vampiir, le tome 14 de la saga, ainsi que le 3ème tome de l’Intégrale.
À l’heure de la toute puissance d’Internet, des milliers de kilomètres de câbles sous-marins permettent la circulation d’une masse colossale d’informations numériques depuis un continent jusqu’à un autre. Ces réseaux câblés sont aussi utilisés par des grandes puissances pour communiquer en secret ; en effet, les ingénieurs de l’OTAN expérimentent un drone capable de se coller sur ces câbles et d’en aspirer les informations. Il a pour nom de code « Vampiir ». Mais au cours du lancement du prototype près des côtes estoniennes, l’appareil échappe au contrôle des opérateurs et disparaît mystérieusement dans la mer Baltique. L’OTAN soupçonne un détournement. Les services secrets russes n’y seraient pas étrangers, mais le drone semble également leur avoir échappé…
Le retour de Bruno BrazilPhilippe Aymond devra dorénavant se partager entre Lady S et Bruno Brazil dont il reprend les aventures. Il retrouve au scénario Laurent-Frédéric Bollée, avec lequel il avait déjà réalisé la série ApocalypseMania.
Après 43 ans d’interruption, le baroudeur Bruno Brazil reprend du service ! Et ce sont deux nouveaux auteurs qui sont aux manettes : le scénariste Laurent-Frédéric Bollée et Philippe Aymond. Succéder à Greg et à William Vance, ce n’est pas une mince affaire. Les premières planches des « Nouvelles Aventures de Bruno Brazil » qui sort le 18 octobre nous ont parues bien alléchantes…
La suite de l’article est à lire ICI sur ActuaBD.
Encore une bonne nouvelle! C’est toujours un plaisir d’ouvrir une BD de Philippe Aymond
J’avais d’ailleurs beaucoup aimé le road-movie vintage Est-Ouest de 2018.
Chronique du tome 14 sur Ligne ClaireAnalyse du 14ème album de Lady S, Code Vampiir, sur le site Ligne Claire.
Lady S, un tome 14 où Aymond rebat les cartes
« Lady S est une série créée par Jean Van Hamme et Philippe Aymond. On en est au tome 14 désormais sous la houlette pleine et entière du dessinateur Philippe Aymond qui en assure scénario et couleurs. Elle a un destin compliqué Lady S, dont on ne sait plus très bien qui elle est, ni d’où elle vient. On se demande si c’est Suzan ou Shania ? Néo-Zélandaise ou Estonienne ? Fille d’ambassadeur américain ou de Juifs dissidents d’U.R.S.S. ? Enfant perdue ou voleuse à la petite semaine ? Victime de chantage ou espionne de haut vol ? On surfe sur un personnage insaisissable qui pourtant, dans cet épisode, va retrouver ses repères mais le payera cher. Aymond rebat les cartes en en dévoilant certaines.
Prisonnière dans un sous-marin, Lady S se souvient de son appartenance contrainte et forcée au Circat, service spécial européen, puis à la DGSE qui a voulu en faire une tueuse. Elle se souvient aussi de ce nouveau drone sous-marin capable d’aller se connecter sur des câbles au fond des océans pour pomper les données informatiques qui y transitent. Le Vampiir en test par la marine estonienne a disparu. On repêche un marin qui annonce un échelon rouge. Lady S est au même endroit que le blessé, hospitalisé à Tallinn, mais pour voir sa tante qui perd la mémoire. Elle s’est retrouvée embarquée dans une aventure dont elle ne sait rien, mais les services de renseignements ne croient pas au hasard.
Shania ou Lady S, va bien sûr faire le faux-pas de trop. Sa tante va lui raconter la vérité sur ses origines, ce qui est l’un des moments forts de l’album, en particulier pour les fans de la série. On retrouve aussi les bons, les méchants, le petit ami de Lady S qui se pose des questions car agent de la CIA. Aymond fait un cocktail du tout avec ingéniosité car l’album se lit bien, d’une traite. Lady S n’est pas une super-héroïne et c’est aussi ce qui fait son charme et son intérêt. Un petit côté XIII peut-être, avec ses hauts et ses bas. On manipule à tour de bras. Un nouveau départ pour Lady S avec suite ou pas ? Dessin toujours aussi efficace et bien cadré de Philippe Aymond. »
Source : Ligne Claire
L’un des petits bons côtés du confinement coronavirussien, c’est que la cataclysmique pile de BD en retard qui équipe plusieurs pièces de ma maison commence à descendre doucement.
Et je découvre, en retirant un à un les albums lus ces jours-ci, le tome 13 de Lady S., qui s’était perdu entre deux autres séries. Comme un œuf de Pâques ! D’ailleurs, j’ai dû glousser en le voyant.
Bilan, immersion immédiate dans l’univers complexe de la belle, avec un album bien réalisé et bien écrit. J’ai tout aimé, à part qu’un gars prend une balle dans la tête et s’en sort sans dommage, eh bien justement, c’est dommage. Van Hamme aurait sûrement été plus cruel.
Sinon, super dessin, histoire tout à fait plausible et qui donne à Lady S. un rôle correspondant bien à son personnage. Aymond est très bon.
Il me faut maintenant le tome 14 ! Je suis à peu près sûr de ne pas l’avoir, celui-là. Mais je vais quand même fouiller un peu, on ne sait jamais.
Tome 14 de Lady SBonjour,
Quelle déception en découvrant l’encrage surchargé et couleurs trop vives de Philippe Aymond.
Quelle mouche l’a piquée de vouloir se substituer à un bon pro. comme Sébastien Gérard ?
D’un extraordinaire rendu dans le juste ton de la ligne claire (Léo et Francq en tête de liste), on est revenu au dessin des années 60 avec plein de zones obscures et ombres inutiles qui nuisent à la beauté et au réalisme que l’on attend.
SVP, faites machine arrière pour les prochains albums. Merci.
CordialementJe me lance avec un 1er avis :
– Couleurs : J’ai beaucoup aimé les couleurs, à part la couverture (trop de vert et marron). D’ailleurs, il y a une anomalie car la pièce où se trouve enfermée Shania sur la couverture est bleu turquoise sur tout le pourtour de la salle alors qu’on n’en voit pas de trace sur la couverture (ça devait faire trop flashy sur la couverture)
– Dessins : Philippe Aymond toujours au top, c’est un plaisir toujours renouvelé
– Scénario : Aymond fait le job. Une intrigue posée et résolue en 46 planches. Ça commence donc très vite, et il y a de ce fait assez peu de suspense.
De cet album se dégage une impression étrange avec la maladie d’Alzheimer qui est très présente avec les errements de Ivana, atteinte, qui ouvrent l’album, et … qui le ferment, ce qui laisse une impression étrange. Comme si Philippe Aymond y était confronté et sensibilisé au point de faire partager à ses lecteurs ces difficultés et cette empathie envers les malades.
En bref, un bon album, réussi, même si sans surprises.
Je n’ai pas de nouvelles à vous donner d’un nouvel album de Lady S. même si le précédent a près de deux ans. Philippe Aymond est un auteur très occupé avec ses différentes séries !
Son blog n’est malheureusement plus alimenté, et je ne suis pas les réseaux sociaux, n’hésitez pas à partager si vous trouvez des nouvelles ailleurs.
De mon côté j’ai profité d’une longue période de repos pour retrouver mon armoire à BD et en sortir ce qui me faisait le plus envie. Il y avait notamment les deux derniers tomes de Lady S. pas encore lus.
Très belle lecture en tout cas, avec un dessin au top et deux belles couvertures.
J’ai préféré le tome 15, dont l’histoire dénouait plus de fils. Le tome 14 m’a semblé plus « facile » pour l’héroïne qui, dans les deux cas, manque de chance et se retrouve souvent en situation inconfortable sans l’avoir voulu !
Un très bon moment pour moi, donc, et j’ai eu envie de le prolonger en me lançant enfin dans la lecture de la mini-série (deux albums) « Highlands » qui me faisait de l’œil depuis longtemps. Je vous en parlerai une autre fois.
Thorgal-BD a écrit
Un très bon moment pour moi, donc, et j’ai eu envie de le prolonger en me lançant enfin dans la lecture de la mini-série (deux albums) « Highlands » qui me faisait de l’œil depuis longtemps. Je vous en parlerai une autre fois.
Ah oui, super série Highlands, j’avais beaucoup aimé. (Mais il faut dire que je suis un grand fan du dessin de Aymond
)Tome 16 – Missions suicideLe prochain album de Lady S « Missions suicide » est annoncé pour le 15 septembre 2023. La surprise est le nom du nouveau scénariste : Laurent-Frédéric Bollée. Nouveau pour Lady S, mais c’est un complice déjà bien ancien pour Philippe Aymond qui a participé avec lui à la série ApocalypseMania dans les années 2000, puis plus récemment avec la reprise de Bruno Brazil dont 3 tomes ont déjà été publiés. Le dessinateur alterne à présent cette série avec Lady S en compagnie du même scénariste. Voici le synopsis de l’album sur le site de la Fnac :
Comment Lady S. est-elle devenue une espionne au crâne rasé, à la solde du Turkménistan ? Tout a démarré huit ans plus tôt alors que, à la suite du décès de sa tante, Shania retourne travailler au Mawali, espérant y croiser Simon. Son ami Conrad, lui, enquête sur un crash provoqué par un attentat terroriste. Deux quotidiens qui vont peut-être vite se rejoindre…
Vous pensiez connaître Lady S. ? Mais ni vous ? ni ses ennemis ? ne pouviez deviner que cette combattante hors pair allait réinventer sa vie et la BD d’aventures grâce aux talents conjoints de Bollée et Aymond ! Lady S. ? Une femme forte. Une femme neuve. Pour des aventures ultracontemporaines et trépidantes.
Vous trouverez un entretien croisé avec les deux auteurs sur BDZoom en 2020 et aussi une chouette rencontre en vidéo avec Philippe Aymond en 2021 à l’occasion d’une vente de ses planches et dessins originaux.
curieux de voir ce nouveau scénario, le dernier était un peu faible….
Aymond a l’air très sympa dans la vidéo, je le préfère comme dessinateur que comme scénariste.
Excellent entretien, j’ai adoré écouter l’auteur parler de ses œuvres, de son approche, de ses amitiés. Il y a de la sérénité et de l’humilité dans ses propos, c’était vraiment un bon moment.
Il parle très peu de sa série Highlands, que je viens de terminer. J’aurais aimé en savoir plus.
J’ai beaucoup aimé ces deux albums, lus d’une traite. J’ai vu qu’ils sont proposés en intégrale aujourd’hui.
L’histoire est documentée et s’appuie sur de grands événements de l’histoire de l’Écosse. Le héros sait se battre avec tout ce qui fait qu’un héros peut toucher son lecteur, mais aussi, ce qui le rend original, surprenant, c’est qu’il est un artiste. Un peintre, un dessinateur, dont les images participent à l’histoire de façon inattendue.
Tjahzi a écrit
Comment Lady S. est-elle devenue une espionne au crâne rasé, à la solde du Turkménistan ? Tout a démarré huit ans plus tôt alors que, à la suite du décès de sa tante, Shania retourne travailler au Mawali, espérant y croiser Simon. Son ami Conrad, lui, enquête sur un crash provoqué par un attentat terroriste. Deux quotidiens qui vont peut-être vite se rejoindre…Un nouveau scénariste, un sacré bond dans le temps, un duo d’auteurs qui se connaît par cœur, voilà un excellent teasing ! Hâte de replonger dans l’aventure.
En attendant, l’interview de Philippe Aymond m’a donné très envie de découvrir Bruno Brazil. Comme il semble difficile de trouver les albums à l’unité, je crois que je vais passer commande des intégrales, même si j’aime moins.
Elles sont très bien ces intégrales de Bruno Brazil ! Avec de chouettes dossiers au début (à lire après la BD pour ne pas se faire spolier… ) et surtout il y a le dessin de William Vance !!
Oui, elles ont l’air chouettes. Mais j’ai la faiblesse de toujours lire allongé ! C’est pas confortable, les intégrales.
Comme elles ont près de 10 ans, il ne faut pas que je tarde, il est vite difficile de trouver des livres un peu anciens.
c’est pas faux
les intégrales sont plus lourdes et surtout les pages risquent de se décoller de la couv si on fait pas gaffe…Eh oui, j’ai même un hamac, c’est horrible de manipuler ces gros bouquins dans un hamac. C’est pour ça qu’on lit tous des mangas : notre génération n’a plus la force physique de lire assis, ou de tenir des objets un peu encombrants. C’est ça l’évolution de l’espèce. La BD de demain sera holographique et se lira les yeux fermés.
Mais tu as raison, les dossiers qui accompagnent ces vieilles BD sont sympas. J’imagine que ce sont les nouvelles couleurs aussi, celles de la réédition du Lombard ?
En attendant ces belles lectures, j’ai le tome 3 de Bollée et Aymond qui m’attend juste à côté. Mais je n’y toucherai pas avant d’avoir lu tout le reste ! Donc, 2028 en gros.
Tome 16 : Article sur ActuaBDLe tome 16 de Lady S vient de paraître !
ActuaBD nous en parle :« L’espionne inventée par Jean Van Hamme a brillamment poursuivi ses aventures sous la plume de son complice, le dessinateur Philippe Aymond. Mais pour redonner un peu de sang neuf à la série, Aymond a fait appel cette fois-ci à l’un des scénaristes les mieux en vue dans le paysage éditorial actuel : Laurent-Frédéric Bollée (La Bombe, Patrick Dewaere, Malik Oussekine… ), dont le propos est plutôt connecté avec l’actualité du moment.
Laurent-Frédéric Bollée connaît les fondamentaux de la mécanique vanhammienne : un fil narratif à l’os, sans fioritures, des caractérisations sans ambiguïtés, des dialogues qui claquent, et une intrigue qui s’irrigue aux grands courants de l’actualité sans avoir trop l’air d’y toucher. Il faut dire qu’il connaît d’autant mieux la « technique » du démiurge bruxellois qu’il a fait partie des quelques scénaristes « adoubés » pour la série XIII Mystery. Ça vaut diplôme !
Son arrivée aux manettes de Lady S, une production tardive dans l’œuvre de Jean Van Hamme, moins connue mais tout aussi solide et énigmatique que celle de l’homme à la tempe dépigmentée, coule pourrait-on dire de source, d’autant que Bollée connaît Aymond de longue date.
Rien d’étonnant que de voir flash-backs et séquences parallèles crépiter à toute vitesse pour converger vers un nœud gordien que l’héroïne va devoir trancher. Les scènes -pourtant écrites il y a plusieurs mois- évoquent l’actualité : les coups d’État en Afrique, les accidents d’avions mystérieux, des lycéennes enlevées par des factions islamistes, les manœuvres-coups fourrés pour capter les métaux rares…
Pour le moment, Rivka joue les idiotes, mais ses antagonistes ne perdent rien pour attendre… »
Source : ActuaBD
Je viens de lire l’album.
Je signale au passage que ce tome est à suivre, avec une histoire en deux volumes au moins.
Le dessin est toujours aussi bon, avec une particularité que je vous livre puisqu’on l’apprend dès les premières planches : près de 10 ans ont passé depuis le tome précédent. On a donc une Lady S. un peu plus âgée, et chauve comme vu en couverture. Il lui est arrivé beaucoup de choses pas folichonnes mais on ne va les découvrir que petit à petit car, après quelques pages, nous revenons en arrière pour la retrouver peu après les événements du tome précédent.Elle est à nouveau prise au piège, victime de différentes organisations secrètes dont celles avec lesquelles elle a collaboré dans le passé. Un passé qui revient beaucoup : j’ai eu du mal, dans les 20 premières pages, avec les nombreux rappels d’événements et personnages venus d’albums précédents. C’est une série que j’ai lue au fil du temps, pendant 20 ans, alors je peine à retrouver qui était qui et qui a fait quoi dans les tomes 4 ou 11. Mais au moins, on ne pourra pas dire que le nouveau scénariste ne connaît pas la série ! Il la maîtrise et il a eu envie de connecter les péripéties d’aujourd’hui à celles d’hier, c’est louable.
Les choses se dévoilent peu à peu, Lady S. est pas mal malmenée et on se demande ce qui l’amènera au funeste destin présenté dans les premières planches… La suite est donc attendue, et j’espère un diptyque plutôt qu’un scénario au long cours ! Je n’ai plus de patience en vieillissant.
Tome 17 – Au nom du père, du fils et du SamariumParution le 13/09/2024 du tome 17 de Lady S « Au nom du père, du fils et du Samarium » .
Nord du Malawi : Shania, en voyant approcher deux hélicoptères de combat, comprend que s’effondre toute chance de négocier la libération des lycéennes enlevées par son ancien ami Simon, devenu chef d’un groupe terroriste. Tous deux vont devoir pourtant s’entendre. Car Shania a un autre deal à lui proposer : un partenariat avec la CIA en échange de l’accès à un gisement de Samarium, une terre rare légère convoitée par la recherche militaire. Mais Shania est-elle ce genre de diplomate du chaos ? Mais surtout : a-t-elle vraiment le choix ?
Source : Dupuis
Les premières planches du tome 17 sont consultables ici :
Voici quelques cases N/B de l’album partagées par le dessinateur Philippe Aymond.
Source images : Insta de Philippe Aymond
