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Le Jeu de la lune barbaresque
Mots-clés : 1984, BD, chevaliers, Grzegorz Rosinski, Jean Van Hamme, Le Jeu de la lune barbaresque, récit complet, Tintin
Ce sujet a 15 réponses, 8 participants et a été mis à jour par arnaldur, il y a 1 an et 7 mois.
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Tiens, un nouveau jeu arrive sur le forum ? Mais non, « Le Jeu de la lune barbaresque » est le titre d’une histoire publiée en juillet 1984 dans le recueil Super Tintin n°26 dont le thème était « Chevaliers » . La version que je vous propose provient d’une réédition de 2004 dans l’album Rosinski à l’avant-poste. Mais de qui est cette histoire ? De Jean Van Hamme et Grzegorz Rosinski, pardi !
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thorgal-bdWebmestre
Je ne l’avais pas lu depuis des années. Merci Tjahzi.
L’histoire est amusante, rythmée, surprenante. Le dessin, l’encrage, les couleurs… On est presque comme à la maison !
Un beau petit plaisir nostalgique.Whôa Tjazhi, merci beaucoup de ce petit cadeau
Sans ce Game Over, Thorgal aurait pu tout aussi bien être un preux chevalier chevauchant son fier destrier.
thorgal-bdWebmestrePar Saint-Vanhamme et Saint-Rosinski, je vous propose du coup la couverture du Super Tintin évoqué.
Le dessinateur est un garçon connu.
Merci pour la couverture. En regardant ce cheval au galop, on réalise que, depuis longtemps, Rosinski restitue tellement bien le mouvement dans ses peintures !
Et merci pour l’article en page d’accueil du site ! J’y ai appris que les histoires courtes des tomes 7 et 14 ont été prépubliées dans les Super Tintin.
Merci pour cette petite BD, l’ami!
Bonjour! MERCI Tjahzi pour ces superbes planches !!! Je ne connaissais pas !
Les couleurs dans Super Tintin sont tout à fait différentes mais aussi bien. Je suppose que les bleus ont été égarés entre la parution dans le mag’ et celle en album.
A part ça, la référence explicite de cette histoire est bien évidemment le jeu Dragon’s Lair, qui fonctionnait précisément sur le principe des épreuves auxquelles est confronté le chevalier : essayer, se planter et tout recommencer depuis le début. Apprendre par cœur chaque astuce pour contourner un piège tordu. C’était beau visuellement et extrêmement frustrant à jouer. Van Hamme et Rosinski se sont bien documentés, si bien que j’ai compris le twist de l’histoire assez rapidement. Anecdotique mais amusant, et de très belles planches (quelle ambiance !)
Sacré différence de couleurs ! mais il n’y a pas eu de publication en album il me semble
Nineinchrem a écrit
mais il n’y a pas eu de publication en album il me semble
Ben si, celui édité par la Poste belge d’où est vraisemblablement tirée la version proposée par Tjahzi.
Ah oui, merci !
Bon ben je suis content d’avoir les deux !
Super sympa! Je ne le connaissais pas, ce super Tintin ! Merci !
thorgal-bdWebmestreJe n’avais pas fait attention à ce changement de couleurs pourtant flagrant ! Merci Arnaldur.
Je viens de relire l’album grâce à toi, double plaisir.
Arnaldur a écrit
Je suppose que les bleus ont été égarés entre la parution dans le mag’ et celle en album.Oui c’est possible. On peut aussi imaginer que les auteurs ont eu envie de moderniser leur histoire. C’est Graza qui a colorisé les deux histoires de « A l’avant-poste ». C’est chouette.
Arnaldur a écrit
A part ça, la référence explicite de cette histoire est bien évidemment le jeu Dragon’s Lair, qui fonctionnait précisément sur le principe des épreuves auxquelles est confronté le chevalier : essayer, se planter et tout recommencer depuis le début.Un jeu complètement dingue. Il faisait tellement envie dans les salles d’arcade, mais en fait personne n’y jouait (ou alors il fallait avoir la caisse à pièces d’or de John Wick). Le principe des jeux d’arcade était de pomper les sous, mais là c’était trop. Je me souviens avoir lu des soluces lunaires dans des magazines de jeux vidéos, avec combinaisons de touche + timing précis. Quelle époque.
Oui, le pardon n’existait pas dans ce jeu ; c’était à la seconde près, avant ou après c’était la mort assurée, aucune sauvegarde ni de retour en début de niveau possible. Les séquences animées par Don Bluth étaient somptueuses mais bon sang, quel gouffre à pognon ! Van Hamme & Rosinski ont bien retranscrit ça dans le dénouement. Et pas moyen de se reporter sur les consoles, toutes les adaptations d’époque étaient décevantes ; forcément, aucune n’était en mesure de gérer le système vidéo spécifique à ce jeu.
Puisque ça semble intéresser je vous la mets en entier, ainsi que le gag en deux planches du spécial absurde qu’on retrouve dans le même bouquin.
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