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XIII – Sente et Jigounov
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Ce sujet a 233 réponses, 24 participants et a été mis à jour par nineinchrem, il y a 1 mois et 3 semaines.
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Ce sujet a 233 réponses, 24 participants et a été mis à jour par nineinchrem, il y a 1 mois et 3 semaines.
Résumé du tome 28 : Prison de Boniato, au nord de Santiago de Cuba.
Dans une cellule, un homme cherche à sauver sa peau. Il implore le directeur d’envoyer un mail à un certain Boris Denisov, un Russe qui pourrait le sortir de cet enfer.
De son côté, à Washington, Jason Mac Lane est devenu conseiller spécial à la sécurité. Depuis que la Fondation Mayflower, un mouvement d’extrême-droite qui a placé le président Allerton au pouvoir, a reprogrammé sa mémoire, il a tout oublié de son passé.
Désormais dévoué à Mayflower, il ignore que ses lunettes, munies d’une caméra, révèlent tous ses faits et gestes à Janet, son épouse, membre éminent de l’organisation.
Jason s’apprête justement à s’envoler pour Cuba afin de récupérer le prisonnier. Car le mail a été intercepté : le dénommé Tadine, un hacker de premier ordre, pourrait contribuer à la réélection d’Allerton.
Le problème, c’est que Boris Denisov s’intéresse lui aussi à Tades. Et que le président Allerton, qui se méfie des ambitions de Janet, ne verrait pas d’un mauvais oeil la disparition de Jason.
Premier volet d’un diptyque dans lequel Jason Mac Lane, alias XIII, semble être définitivement passé du mauvais côté de la Force… malgré lui.
Donc si je comprends bien, on laisse l’avenir de XIII en suspens (pourtant c’est un sacré cliffhanger qui finissait le 27), pour revenir à coups de diptyques sur son passé? Et la suite alors, on en sait un peu plus?
Bande Dessinée Info nous partage 2 planches du tome 28.
Source : Bande Dessinée Info
Ce que je constate c’est que pour XIII les personnages ressemblent à eux-mêmes sans que l’on reproche aux auteurs de « copier » Vance.
Thorgal n’est pas de la ligne claire absolue certes, pour autant cette notion d’être « fidèle aux auteurs » tout en mettant « sa personnalité ou je ne sais quoi de touche personnelle », ne me convainc pas. Je voudrais que Thorgal ressemble à Thorgal, ce que Roman Surzhenko a d’ailleurs travaillé à obtenir.
Je suis d’accord avec toi Hirondl.
Ça devient de plus en plus la mode, les héros de bédé « vu par Untel ». L’auteur est glorifié davantage que l’œuvre et on ne compte plus les franchises saccagées par cette idéologie. Le pire exemple je pense est Spirou. Les héros adorés de mon enfance sont devenus des pantins pathétiques parodiés jusqu’à l’écœurement par des guignols qui de toute évidence ne les aiment pas et viennent juste parader en mettant leur nom sous la couverture et en l’associant au prestige d’une série qu’ils contribuent à ternir (à enterrer, même). J’ai horreur de ça.
S’ils ne veulent pas faire du Spirou, eh bien qu’ils n’en fassent pas. Qu’ils fassent leur propres séries s’ils se croient si talentueux que ça et capables de créer des séries-cultes du niveau de Spirou.
Et de même s’ils ne veulent pas faire du Thorgal, qu’ils n’en fassent pas. S’ils veulent en faire, que ce soit avec respect, sérieux et engagement, comme l’ont fait Tome & Janry pour Spirou et Jigounov pour XIII.
Pour la sortie du tome 28, Dargaud met les bouchées doubles pour nous replonger dans le bain de XIII.
Et cet article de Dargaud qui fait le point sur la série :
XIII : pourquoi lire ou relire la série culte d’anticipation politique ?
En près de 40 ans, XIII est devenu LA série culte d’anticipation politique. Le héros à la mèche de cheveux blancs qui court après son identité puis sa mémoire n’a pas fini de nous surprendre !
Les fondements
En s’appuyant sur quelques-uns des points majeurs de l’histoire des États-Unis du XXe siècle, Jean Van Hamme et William Vance créent en 1984 la série XIII.
Un solide gaillard aux allures de baroudeur se retrouve sans nom, sans passé, sans souvenir, dans un lieu inconnu. Son seul début d’indice pour découvrir son identité est un chiffre, XIII, qu’il porte en tatouage. Sa position est d’autant plus inconfortable qu’une bande de tueurs est à ses trousses. Et il découvre rapidement que de hautes personnalités civiles et militaires s’intéressent aussi à lui.
Ce récit d’espionnage a pour cadre un pays moderne non précisé, mais qui ressemble fort aux États-Unis. La longue traque se poursuit d’un album à l’autre et Jean Van Hamme distille peu à peu les informations sur le passé du héros, qui semble lié à l’histoire récente de son pays… Le scénario, qui mêle aventure et fiction, est mis en image par William Vance. Son trait réaliste et précis apporte une crédibilité totale et campe un héros sympathique, attachant et énigmatique à la fois.
Le challenge
Jean Van Hamme et William Vance passent le flambeau en 2007. En recrutant Yves Sente pour le scénario et Iouri Jigounov pour le dessin ainsi que la mise en scène, William Vance et Jean Van Hamme savaient ce qu’ils faisaient. Ils connaissaient, personnellement et professionnellement, leurs cadets depuis de nombreuses années et ils avaient eu l’occasion d’apprécier leur travail.
Les deux pères fondateurs de la série voulaient des repreneurs qui soient, bien sûr, des lecteurs de XIII, mais qui aient aussi parfaitement compris les éléments fondamentaux de la série et les traits caractéristiques du personnage.
Une première règle était nécessaire : respecter l’ADN de la série (un thriller mettant en scène un héros qui a perdu la mémoire et qui se retrouve entraîné dans des scénarios complexes nourris de géopolitique).
Et une seconde règle était évidente : respecter les éléments scénaristiques déjà posés dans le premier cycle. (Pas question d’introduire des incohérences entre nouveaux et anciens tomes !)
Contexte géopolitique
Un des éléments essentiels de la série est l’importance accordée au contexte géopolitique.
Le premier cycle s’était appuyé sur quelques-uns des points majeurs de l’Histoire des États-Unis du XXe siècle (assassinat du président Kennedy, ingérence nord-américaine en Amérique du Sud, pouvoir des multinationales états-uniennes dans les économies émergentes…).
Le second cycle plonge au cœur du XXIe siècle, évoquant, entre autres, la (re)montée aux États-Unis de la droite nationaliste, religieuse et ultraconservatrice (qui s’est révélée dans toute sa force à la fin du mandat du président Trump, mais qui était déjà inscrite dans la série avec le récit fondateur des émigrants du Mayflower !), le terrorisme international, le rôle des armées privées sur les champs de bataille (la société USafe fait évidemment allusion aux sociétés privées Blackwater ou Wagner), la constitution des très grandes fortunes, plus puissantes que celles de bien des États (les centaines de milliards de la Fondation Mayflower font indéniablement penser aux milliers de milliards des GAFAM), mais aussi les progrès des sciences neuronales (la puce insérée dans le cerveau de XIII aurait pu sortir des laboratoires de la Darpa – Defense Advanced Research Projects Agency – ou de la société Neurolink d’Elon Musk qui progressent à grands pas dans le domaine de “l’humain connecté”), la mondialisation et les dangers du hacking international (dont les exemples dans l’actualité des rapports Est-Ouest sont quotidiens)…
Dimension internationale
Le second cycle fait aussi sortir XIII de sa zone de “confort géographique”, conférant une dimension plus internationale à ses aventures. Les nouveaux albums voient ainsi le héros quitter le continent américain pour s’aventurer de Paris à Amsterdam, de Karachi à Cuba… avant de partir à Moscou où, loin de l’image parfois caricaturale qu’ont les Occidentaux, différentes forces du pouvoir russe s’opposent dans l’ombre. Aujourd’hui, XIII, c’est tout cela !
Cuba, où tout a commencé
Le nouvel album, le vingt-huitième, ouvre un diptyque explosif. Du XIII pur jus, un subtil mélange entre enquête passionnante dans les profondeurs de la mémoire du héros et thriller haletant sur des thématiques on ne peut plus actuelles : menace russe, cyberguerre, terrorisme ou encore neurosciences…
Source : Editions Dargaud
Le programme est alléchant. J’ai lu tous les albums, mais j’ai l’impression d’avoir un peu perdu le fil de l’histoire (de ce qui est appelé la saison 2). Il faut que je reprenne le tome précédent…
Je ne connais pas le terme superbe de « binge reading » mais j’imagine qu’il s’agit de lire plein d’albums à la suite ? C’est une consommation qui ne me parle pas du tout. Ni en BD, ni en télé. Je ne comprends pas trop le principe. Pour moi ça ressemble à de l’absorption, comme manger à Mac Do.
Quand je lis un album et que je le termine, j’ai rarement envie d’aller en lire un autre dans la foulée. Si c’est le cas, c’est que l’album ne m’a pas donné suffisamment de matière, comme ces tomes de One piece où rien de probant ne se passe entre le début et la fin de l’histoire, et où on ne parvient pas à définir un album autrement que par son numéro (désolé pour les fans de One piece ! et de Mac Do ! ).
Le slow reading en somme ….
Moi j’avoue quand je me suis mise (enfin) à lire XIII, j’ai eu envie d’en lire 2 ou 3 d’affilée.
La BD qui de mon point de vue ne supporte vraiment pas le binge reading c’est Corto Maltese. C’est même l’inverse, il m’est arrivé de rester sur un épisode, de fermer le livre, et le reprendre plus tard.
Je ne connaissais pas non plus le terme mais j’avoue que depuis quelques années, à quelques exceptions près (XIII, Thorgal, Château de Bordeaux), je préfère attendre patiemment qu’une série ou un cycle soient finis et lire toute la série ou tout le cycle en une semaine, plutôt que comme je le faisais dans ma jeunesse, de lire l’album qui vient de sortir, patienter 1 ou 2 ans le suivant, et relire le précédent pour me souvenir de l’intrigue.
Par exemple, j’attends patiemment pour lire le nouveau LEO Neptune.
On patiente plus mais en attendant il y a plein d’autres séries et aujourd’hui elles sont plus courtes qu’auparavant. Et il y a aussi pas mal de tomes autonomes maintenant.
Je lis XIII depuis 30 ans mais sans avoir le temps de relire les anciens je suis un peu perdu ^^;
En tout cas, ça y est, les albums à 5 euros sont disponibles. Ils ont copié ! C’est chez Thorgal qu’on a lancé l’idée !
Pennybridge a écrit
comme je le faisais dans ma jeunesse, de lire l’album qui vient de sortir, patienter 1 ou 2 ans le suivant, et relire le précédent pour me souvenir de l’intrigue.
Bah je dois être encore jeune, du coup.
J’aime bien lire un album puis devoir patienter pour connaître la suite. Ça a toujours eu un côté plaisant pour moi. L’autre côté plaisant, c’est qu’au moment de la parution de la suite, je relis toujours l’album précédent (voire les 2, ou 3 albums précédents… avant de me lancer dans l’aventure. Ça rentabilise un peu les sous investis, en me les faisant lire plusieurs fois !
J’avais raté la parution (ou plutôt oublié) et je passe l’autre jour dans un centre culturel Leclerc, pas du tout pour acheter de la BD. Évidemment, je passe quand même par le rayon BD et j’en ramasse une brouette. Il y avait un petit tas de XIII, tome 28. Et là, surprise ! Une édition spéciale !
Je me suis alors rendu compte que la couverture présentée par Tjahzi en page précédente est en fait celle de l’édition limitée Leclerc avec cahier graphique (et donc couverture spéciale).
Voici celle de l’édition « normale ».
Petite variation sympa entre ces deux couvertures. A une époque, j’aurais acheté les deux. Mais les temps changent.
Tout petit écart de prix, l’édition spéciale est à 13€50 au lieu de 12€50.
Je m’excuse aussi de ne pas avoir partagé ici : édition leclerc sympa : 8 pages de crayonnés (la couv +10 cases), commandé en ligne et fais livrer dans un leclerc sans espace culturel… Emballage très moyen : une enveloppe carton assez fine comme chez Am… donc des chocs…
Pris la voiture hier exprès pour aller dans un IMMENSE leclerc pour voir sur place les exclus (dernier Corto entre autres) et les ex-libris (Nottingham, Saint Seiya….) et là… rien du tout, le rayon BD est à l’intérieur de l’hypermarché et aucune édition spéciale et un responsable de rayon qui ne connait pas le mot ex-libris….
Heureusement que je bosse pas loin de librairies spécialisées sympathiques, je vais en rester là (mais je n’oublie pas le Aniel ed. leclerc que j’avais raté à l’époque).
Nineinchrem a écrit
Pris la voiture hier exprès pour aller dans un IMMENSE leclerc pour voir sur place les exclus (dernier Corto entre autres) et les ex-libris (Nottingham, Saint Seiya….) et là… rien du tout, le rayon BD est à l’intérieur de l’hypermarché et aucune édition spéciale et un responsable de rayon qui ne connait pas le mot ex-libris….
Je pense que les éditions spéciales ne se trouvent que dans les espaces culturels Leclerc, pas en hypermarché ? Ce sont un peu comme des Fnac/Cultura, en périphérie des magasins.
Je croyais que « l’espace culturel » c’était l’espace à part à côté de l’entrée (là il n’y a avait que les jeux vidéo) mais que ça restait accolé à un hyper…. Pour m’enfoncer plus, je croyais que Cultura c’était Leclerc aussi ^^;
Bref, moi aime libraires indés mais moi collectionne éditions spéciales – tourmente XD
Plus sérieusement je trouve l’édition leclerc du Thorgal 36 Aniel plus jolie que l’édition classique : la couverture !!! et les bonus !!
et c’est à cause de cette édition, trouvée plus tard sur ibèèèè (moins de 20€ heureusement) que je passe mon temps en ligne pour surveiller les éditons spéciales…. au lieu de lire….
c’était ma vie, merci
ah sinon j’ai acheté les 2 versions du dernier XIII mais je ne suis pas plus emballé que ça à l’idée de le lire… peut-être parce que c’est un diptyque… surement parce que Van Hamme et Vance me manquent…
Et sinon, vous l’avez lu ou avez envie d’en parler?
Pour ma part, Vance ne me manque pas tant que ça quand on voit l’admirable boulot de Youri Jigounov pour la continuité. (Pour l’anecdote, je mets Youri et non Iouri car en discutant avec lui au cours d’une soirée XIII (c’était la convention de novembre 2014) il disait lui-même qu’il préférait Youri avec un Y, et qu’il l’avait dit 50 fois à l’éditeur qui continue de mettre un I).
Jetez un coup d’oeil sur la planche 20, 3 dernières cases. Jones et Carrington sont aussi bien réussis que par Vance, c’est incroyablement réjouissant.
Côté scénar, Sente fait le job et on y prend plaisir :
– Il ne laisse pas XIII plus d’un album du côté des méchants et sans mémoire (ouf)
– Il lève un peu les blancs sur la période de blanc à Cuba
– Il lorgne du côté d’Alpha avec un agent double du côté des Russes, avec XIII retourné, et qui a des amis russes.
Bref, bien réjouissant tout ça!
Nineinchrem a écrit
Je croyais que « l’espace culturel » c’était l’espace à part à côté de l’entrée (là il n’y a avait que les jeux vidéo) mais que ça restait accolé à un hyper…. Pour m’enfoncer plus, je croyais que Cultura c’était Leclerc aussi ^^;
Bref, moi aime libraires indés mais moi collectionne éditions spéciales – tourmente XD
Plus sérieusement je trouve l’édition leclerc du Thorgal 36 Aniel plus jolie que l’édition classique : la couverture !!! et les bonus !!
et c’est à cause de cette édition, trouvée plus tard sur ibèèèè (moins de 20€ heureusement) que je passe mon temps en ligne pour surveiller les éditons spéciales…. au lieu de lire….
c’était ma vie, merci
ah sinon j’ai acheté les 2 versions du dernier XIII mais je ne suis pas plus emballé que ça à l’idée de le lire… peut-être parce que c’est un diptyque… surement parce que Van Hamme et Vance me manquent…
Pareil. Pas de XIII dans l’Espace culturel de Leclerc, mais il est dispo sur le site internet donc pas besoin de s’embêter, on le fait livrer là-bas (ou à la maison) et on est sûr de l’avoir.
Allez, un petit jeu!
Voilà une petite photo. Est-ce que vous saurez repérer l’anomalie? Indice : Ça concerne le haut de la photo, les BDs couchées.
Si personne n’a trouvé, je mettrai un peu plus tard une photo agrandie
L’anomalie ? Dargaud a changé le format des derniers albums de XIII, ça jure aussi dans ma bibliothèque !
oui, albums plus larges, quelle idée… ils feraient mieux d’adapter les dos des BD pour qu’ils soient à la taille de l’épaisseur des pages car ça fait un moment que les XIII et les THORGAL sont tordus : pages plissées et surtout la 4ème de couverture qui dépasse la première… et c’est pas avec la crise que ça s’arrange, les BD sont plus chères et moins bien assemblées et manipulées….
Non non ce n’est pas ça mon anomalie, en fait ça concerne le dernier tome…
Ah ben je retire ce que j’ai dit. J’ai craqué, je croyais que j’avais 2 numéros 28… Je me suis emmêlé les pinceaux et le 6 ressemble assez au 8.
Bon ben comme ça, vous aurez vu une petite partie de ma collection. (Il manque les fringues (veste XIII, casquette Costa Verde libre et Tshirt Spads), un tableau de Jones, des dossiers de presse, des ex-libris et des dédicaces. J’étais là aux bons endroits aux bons moments. Pour Thorgal, ça n’est jamais arrivé…
Mais mais mais… Sur la gauche de ta photo… Ouate iz zatte ???
Un tableau ???
Oui, j’ai 2 tableaux, un de Maria, un de Jones. Ça date de 2007, à la soirée pour la sortie du Dernier Round et de la Version Irlandaise. J’avais été tiré au sort pour participer au quizz avec JVH et ça s’était bien passé. (En même temps, les perdants recevaient aussi un paquet de goodies).
A cette époque, le Dernier Round était sorti en version platine à 1000ex, et j’avais ramé pour trouver une librairie qui en avait.
Entre 2007 et 2014, il y a eu pas mal de soirées publiques et j’ai pu récupérer auprès du Lombard des dossiers de presse et rencontre Youri Jigounov. (On s’était même vu 3 jours de suite à l’occasion de l’expo au Musée de la Poste si je me souviens bien.) C’était avant la parution du XIII Mystery Tome 5 de Guérineau et Nury.
Mais ça c’était avant (le Covid)…
Inky a écrit
Mais mais mais… Sur la gauche de ta photo… Ouate iz zatte ???
Un tableau ???
Attends, le tableau c’est bien mais le zippo, le lecteur radio, la montre et la plaque de l’armée, c’est sympa aussi car un peu plus incongru comme goodies.
Ah oui tu es vraiment un collectionneur vrai de vrai !
Pour les prochaines Journées du Patrimoine, je m’inscris pour la visite guidée de ta collection !
J’ai surtout eu la chance d’être tiré au sort en 2007 et d’avoir tous ces goodies et les 2 tableaux! Sinon, je ne les aurais jamais achetés. Un fan oui, un collectionneur oui par chance.
Et après, effectivement, ça donne envie de rencontrer les auteurs, se libérer pour être présent aux évènements. (J’avais la chance d’être arrivé sur Paris à ce moment et les évènements étaient souvent à Paris).
Le seul truc que j’aie acheté sur un site d’afficionados, c’était l’album 16bis « Traquenards et sentiments » (histoire écrite de Van Hamme avec quelques illustrations).
Il faut absolument que je lise le XIII Mystery de Meyer/Dorison. Ce duo est un peu un Van Hamme /Rosinski contemporain.
Hirondl a écrit
Il faut absolument que je lise le XIII Mystery de Meyer/Dorison. Ce duo est un peu un Van Hamme /Rosinski contemporain.
XIII Mystery c’est vraiment la découverte d’auteurs immenses ou de pointures qui gagnent à être connues.
Il y en a pas mal que j’ai découvert après avoir lu les XIII Mystery, en découvrant d’autres superbes séries.
Tu cites le 1 avec Dorison (entre autres Troisième testament) /Meyer (entre autres Undertaker).
Le 2, Berthet c’est entre autres Pin-Up. Corbeyran on ne le présente plus. (Château de Bordeaux, Uchronies, etc.)
Le 3, Yann l’incontournable et Henninot entre autres (Carthago)/
Le 4, Boucq c’est entre autres le Janitor et Bouncer; Alcante c’est entre autres Ars Magna, Pandora Box,Rani.
Le 5, Guérineau c’est entre autres les Stryges; Nury entre autres Il était une fois en France, Katanga.
Le 6, Bollée c’est entre autres Apocalypse Mania, Les Nouvelles aventures de Bruno Brazi; et Cuzor (j’aime moins mais j’avais bien aimé) entre autres Quintett
Le 7, Vallée, c’est entre autres Gil Saint André, Katanga, Il était une fois en France, Callède c’est entre autres l’excellent Enchaînés
Le 8, Wilson c’est entre autres la Jeunesse de Blueberry, et l’immense et regretté Giroud (Décalogue, Secrets, etc… )
Le 9, l’immense Matz, c’est notamment entre autres le Tueur, Tango; Rossi c’est entre autres West, Deadline.
Le 10, Duval c’est entre autres Carmen McCallum, l’excellent Corentin Rouge, c’est entre autres Kashmeer, Milan K, Rio, Sangoma.
Le 11, Brunschwig c’est entre autres le Pouvoir des Innocents; Taduc c’est entre autres l’excellent Chinaman
Le 12, Pecqueur c’est entre autres Arctica et Golden City; et Buchet c’est Sillage (que j’avoue n’avoir jamais lus)
Le 13, Grenson un de mes préférés avec Niklos Koda, La douceur de l’enfer.
Bref, il y a de quoi faire de belles découvertes et des heures de lecture!
J’ajoute que le défi de VH c’était de faire se rencontrer sur XIII Mystery des auteurs qui n’avaient encore jamais travaillé ensemble!
Sinon, pour le sondage, est-ce que dans la liste des auteurs de XIII Mystery, vous avez lu des albums de
Dorison
Meyer
Berthet
Corbeyran
Yann
Henninot
Boucq
Alcante
Guérineau
Nury
Bollée
Cuzor
Vallée
Callède
Wilson
Giroud
Matz
Rossi
Duval
Corentin Rouge
Brunschwig
Taduc
Pecqueur
Buchet
Grenson ?
Pour ma part, le 1er de la liste que j’ai découvert, c’était Grenson en 99, et le dernier c’était Taduc en 2021. Et Buchet jamais lu à part le XIII Mystery.
A vous!
Penny, je veux bien que tu me copies tes deux derniers messages dans le sujet dédié :
Et promis je te répondrai là-bas !
C’est bon! Merci de faire régner un peu d’ordre sur ce forum! Avec certains, ça devient vite le bazar!
Plus qu’un mois avant la sortie du tome 29 de XIII « Moscow – Spaso House » . Sous le crayon de Youri Jigounov, XIII ressemble de plus en plus à Alpha… Voici la couverture classique de l’album, ainsi que celle de l’édition spéciale. Vous trouverez les 7 premières planches de l’album en cliquant sur ce lien vers l’éditeur Dargaud. Et ci-dessous, je vous partage le résumé le plus long pour une BD !
« Dans un avion pour Moscou, Boris, l’agent russe du FSB que XIII a connu dans sa jeunesse lors de son infiltration à Cuba, rappelle à notre héros une ancienne mission que sa mémoire avait effacée. En stimulant la mémoire perdue de Jason Mac Lane, le Russe espère découvrir la cachette d’une vieille preuve de complot pouvant être utile pour relancer sa carrière.
En 1984, du temps de la guerre froide, XIII avait été missionné pour tuer un candidat à la présidence russe jugé un peu trop conservateur par le gouvernement américain dans le cadre du plan de réchauffement des relations Est-Ouest. Mais l’attentat prévu lors d’une réception à Spaso House, la résidence moscovite de l’ambassadeur américain, avait échoué par la faute d’une agente infiltrée du KGB, Nina Orekhova, alias « Babotchka » (« papillon »). Cette dernière, voyant en Jason Mac Lane un jeune idéaliste, glisse dans ses mains une microcassette contenant les preuves de complicités de milliardaires russes et américains dans un trafic d’armes et de technologies militaires entre Soviétiques et Américains vénaux ayant des intérêts communs dans le maintien des tensions entre les deux super puissances. XIII parviendra à s’échapper et sera renvoyé par la CIA à Cuba (qu’il quittera bientôt « pour Maria ». Mais ceci est une autre histoire… cfr tomes 9 et suivants de la série.)
Aujourd’hui, le passé revient frapper à la porte de notre amnésique. Désireux de mettre la main sur la microcassette dont XIII a oublié jusqu’à l’existence, le GRU, alias les services de renseignements militaires russes, compte forcer un déclic dans la mémoire de Jason Mac Lane. Mais à peine arrivés à Moscou, voilà XIII enlevé par des motards dirigés par Nina qui travaille pour le FSB. Nina propose un marché à XIII. Elle promet de le libérer des gens du GRU et de l’emprise que la Fondation Mayflower a sur son cerveau si, en échange , il l’aide à retrouver la fameuse microcassette. Ensemble, ils pourront alors faire gagner Carrington aux prochaines élections présidentielles américaines et enfin favoriser un climat de détente entre les deux plus vieux ennemis de la politique internationale… »
Source : Dargaud
Hummm, XIII, Thorgal, c’est quand que j’arrête d’acheter des séries que je ne comprends plus ?
Surtout en deux éditions différentes à chaque fois……. hummmmm
nan rien en fait c’était juste pour décocher la case « me prévenir des réponses » qu’on ne peut pas enlever si on n’écrit rien XD
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